2050. La fin du pétrole abondant a signé l’arrêt de mort de la voiture. A Paris, le rail structure le transport de personnes et de marchandises. La population francilienne a diminué de 45 % et l’Ile-de-France a créé huit biorégions. La consommation de chaque citoyen ne dépasse pas une tonne d’équivalent pétrole par an. Cheville-ouvrière d’un travail inédit, Agnès Sinaï, de l’Institut Momentum, trace les contours d’un futur contraint, mais désirable. Utopie ?
Paris en pleins champs
