Il ne s'agit que d'un geste très anodin : l’application d’un savon, d’une crème pour éclaircir sa peau, pour se rendre "plus jolie", entre pression sociale et espoir de reconnaissance. Mais dans les services de dermatologie, les soignant·es sont dépassé·es par l’ampleur des corps abîmés par ces produits. Un reportage de Marie Ruwet (photos) et Alizée Lambin (textes)
Dépigmentées, ce que le xeesal coûte aux femmes sénégalaises
Les cosmétiques dépigmentants sont très utilisés par les Sénégalaises, entre pression sociale et mode. Avec des conséquences dermatologiques dramatiques.