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Les alter-mécènes

La Fondation Marius Jacob est un outil financier collectif et autogéré créé pour soutenir des activistes, collectifs et mouvements sociaux qui militent pour un monde plus solidaire et sans dominations. Rencontre à Saint-Josse avec quelques-uns de ces alter-mécènes.

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2021 Imagine n°147Démocratie Par Laure de Hesselle

- Bastian Greshake Tzovaras / Flickr

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2021

« Repenser la démocratie face à la menace climatique »

En préambule à la COP26 de Glasgow, la rédaction d’Imagine a réuni chez Greenbizz Brussels quatre personnalités issues de la société civile pour un grand débat : le climatologue Jean-Pascal van Ypersele (UCLouvain), la chargée de campagne Rebecca Thissen (CNCD-11.11.11), la déléguée du Forum des jeunes ONU Nadège Carlier et le chercheur Nathanaël Wallenhorst (UCO Angers). Un dialogue fertile et critique qui nous projette bien au-delà de ce nouveau rendez-vous politique international.

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2017

José Bové : « La désobéissance civique est la respiration de la démocratie »

L’agriculteur girondin est une des figures du mouvement altermondialiste qui, en ce début des années 2000, est particulièrement actif au travers des Forum sociaux mondiaux. José Bové fait également l’actualité via ses différentes actions de « désobéissance civique » menées avec les faucheurs volontaires contre les champs d’OGM. Dans cet entretien sans langue de bois, il est à la fois lucide, flamboyant et combatif.

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2020

Ruines et colères à Haïti

Dix ans après le séisme qui a détruit son île, Jean-Baptiste Chenet, leader associatif, observe la révolte d’une jeunesse qui dénonce la corruption mortifère de la classe politique.

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2018

Jonathan Durand Folco : « A nous la ville ! »

Docteur en philosophie de l’université Laval et professeur à l’Ecole d’innovation sociale de l’université Saint-Paul d’Ottawa, Jonathan Durand Folco proclame
« A nous la ville ! ». Dans son Traité de municipalisme, il préconise de donner plus de pouvoir aux communes, ces territoires proches des citoyens et porteurs d’un gros potentiel de transformation. Rencontre à la veille de nos élections communales.

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2021

Biodiversité : la voix oubliée des peuples autochtones

« Notre terre, notre nature. » En septembre, à Marseille, des peuples autochtones et une poignée d’organisations de défense des droits humains se sont réunis lors d’un congrès pour « décoloniser la conservation de la nature ». Craignant d’être expulsés de leurs territoires au nom de la protection de l’environnement, ils plaident pour une stratégie mondiale de conservation différente qui placerait la reconnaissance de leurs droits au cœur des solutions pour la biodiversité et le climat. Ce congrès était pensé en opposition à « l’autre » congrès : celui de l’Union internationale pour la conservation de la nature, antichambre de la COP15 pour la biodiversité. Son objectif principal – la protection, d’ici 2030, de 30 % des terres et des mers – révolte les peuples autochtones, qui voient en lui une nouvelle forme de colonialisme. Imagine s’est entretenu avec cinq participants de ce rendez-vous unique en son genre.
Rencontres.

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