Le 23 décembre, les Congolais doivent se choisir un nouveau président. Les soupçons de fraude qui planent sur l’organisation des élections poussent de nombreux citoyens à boycotter un scrutin qui s’annonce trop peu libre et transparent.
Le 23 décembre, les Congolais doivent se choisir un nouveau président. Les soupçons de fraude qui planent sur l’organisation des élections poussent de nombreux citoyens à boycotter un scrutin qui s’annonce trop peu libre et transparent.