Cultiver les algues coûte que coûte

Sur une petite île de l’archipel tanzanien de Mafia, voisin de celui de Zanzibar, quelque trois cent femmes pratiquent l’algoculture sauvage depuis près de septante ans. Les prix sont fixés par les acheteurs, qui reprennent le kilo d’algues pour quelques kopeks seulement, laissant les habitants désemparés. Résultat : cette production locale ne rapporte pas assez, alors que l’intérêt pour les algues grandit, en raison de leurs vertus cosmétiques et alimentaires.

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Sarah Frères