Reptiles, pangolins, rapaces… Tout se vend sur le marché illégal des animaux sauvages. Le business du vivant, devenu le quatrième trafic le plus lucratif sur la planète, entraîne la disparition de milliers d’espèces, traquées partout dans le monde pour satisfaire la clientèle aisée en manque d’exotisme. Un capitalisme de l’extinction est en train de naître.